Pour identifier si quelqu’un a été infecté, un premier examen corporel peut déjà montrer la présence ou non d’une infection sur la peau. Quel que soit le résultat, on procédera à un test d’imagerie pour observer l’assimilation cellulaire du Crisérium. Si on ne remarque rien, soit un taux de 0 %, alors on déclare que vous n’êtes pas infectés. On effectue par la suite des tests sanguins pour déterminer la densité de Crisérium présent dans votre sang. Un taux de 0,09µg/L est la moyenne pour quelqu’un qui est rarement en contact avec du Crisérium, si c’est votre cas un début d’infection est peu probable. Toutefois, si la présence d’un granule est détectée on vous déclarera comme étant infecté.
La Cristallisation est le processus qui suit une contamination avancée aux Crisérium. Votre peau peut présenter des zones cristallisées ou même ne pas présenter de contamination extérieure si sa propagation ne se fait que dans vos organes. Si vous ne suivez pas de traitement pour stopper la propagation, la Cristallisation commencera à causer des douleurs et des démangeaisons. À partir d’un certain stade, des problèmes respiratoires peuvent apparaître ainsi que des problèmes de nutrition. Dans certains cas, ils arrivent que certains infectés manifestent la perte de certains sens, des pertes de mémoire ou des mutations corporelles.
Si rien n’est fait, l’infection commencera à provoquer la défaillance d’organe ce qui est fatal. À la mort de la personne infecter, son corps commencera à se désintégrer de manière similaire à une combustion spontanée. Suite à cela, le corps laissera derrière lui de la poussière de Crisérium dont les particules pourraient être la cause d’une nouvelle contamination si les bonnes mesures ne sont pas prises.