Membre de la Meute Rage against the Wyrm.
« J’aime le goût de ton
sang ! »
Hasira n’a jamais connu la chaleur de la savane africaine et la liberté de courir où bon lui semble, non, à la place, elle est née dans une cage, au Zoo de Central Park, à New-York. Observée et épiée par une foule chaque jour plus nombreuse, la jeune Hyène à eu bien du mal à se faire à ce bruit de foule oppressant, dont elle garde encore une phobie prégnante. Il est bien difficile de grandir et de s’épanouir quand vous n’êtes pour les gens qu’une bête curieuse, un distraction, mais observé sans cesse … Et cela devient encore plus problématique lorsque votre corps envoi des signaux indiquant un changement, fort, puissant, imminent … Puis c’est le trou noir. Le lendemain, c’est la police qui entre dans la cage pour en extraire la jeune Ajaba, la tirant pas les pattes avant, des pattes qui ne ressemblent plus à rien, roses et glabres. La jeune femme est interrogée sommairement, qui est-elle ? d’où vient-elle ? qui sont ses complices ? Où est l’animal qu’il ont fait évader de cette cage ? pourquoi l’ont-ils enfermé nue à la place ? Autant de questions dans un langage incompréhensible, Hasira a peur, son pouls s’accélère, ces gens ont la gorge sans protection, c’est là qu’elle va frapper pour se défendre. Rapidement, le sang et la terreur emplisse les murs de la pièce, d’autres personnes entre à leur tour, tirant avec des pistolets électriques, Hasira tente de résister, en blesse deux de plus, mais succombe un instant plus tard … Pour se réveiller dans un camion, avec de lourdes chaines aux membres, on l’emmène quelque part, peut-être de nouveau au Zoo dans sa cage ? De la fumée, le camion stoppe et les portes s’ouvrent violement, des hommes … Non, pas des hommes … des loups sous forme humaine … Ils entrent dans le camion et libère Hasira de ses chaines, puis ils l’emmènent vers une voiture où elle monte. Le véhicule stop sa course dans un parking souterrain … Là, un homme-loup, l’Alpha de cette meute l’attend … Il lui sourit, s’accroupi, la regarde dans les yeux … « Miss Hasira, vous êtes pile la personne que je cherche … Laissez moi vous parler de mon fils et de votre liberté ».