Dans la nuit, un incendie s’est déclaré dans la cave de l’auberge, allumé par 3 brigands, brulant une partie des réserves de nourriture. Tristan s’efforce d’éteindre l’incendie pendant que Conrad et Tanorivel courent après les incendiaires. Ils arrivent à les rattraper. Cependant le bandit plaquer au sol par Tanorivel arrive en se débâtant à échapper à sa prise. Tandis que celui de Conrad se met à crier pour alerter les patrouilles elfes. Klaus, le père de Tanorivel, arrive à aider son fils pour ramener son prisonnier (Turdan, elfe des bois) à l’auberge alors que Conrad s’enfuit dans la nuit en direction de l’auberge concurrente. Le lendemain matin, Rikke est de retour en ville après une nuit à l’extérieure. Ulrich commence à préparer le repas du banquet du lendemain avec le reste des provisions.
Turdan propose de retourner sa veste et de fournir des informations compromettantes envers les propriétaires de l’auberge du Pont. Tanorivel et Conrad hésitent. Finalement ils acceptent et donne comme information que les femmes qui portent les enfants des elfes sont normalement indemnisé mais Carmichaël (propriétaire de l’auberge du pont) garde l’argent d’Ermelinde qui devrait lui revenir car elle attend un enfant d’Erisadan.
Tandis que Tristan et Rikke vont se rendre au pont où un transit des enfants a été vu. Lors d’un contrôle des papiers, nous venons en aide à Marco (réfugié, homme de ménage à l’auberge du pont).
Ils se dirigent après vers la boutique de Gretella pour acheter 2 bouteilles de bon vin (50po / chaque) et racontent leurs mésaventures et s’arrangent pour engager Sofia comme ménestrelle pour la fête. Ils vont ensuite au château pour faire les démarches afin d’engager 5 réfugiés/troubadours pour le banquet. Ils croisent le chemin de Tancrède II de Hautval et de Frédégonde de Hautval.
La maison de Wolfram Azaim semble avoir une bonne vue sur la route entre la Sylve et l'Abbaye de la Flamme où résident les arindeals.
De retour à l’auberge, tous se mettent au travail pour préparer les festivités avec l’embauche en plus de quelques hommes de mains pour assurer la sécurité.