Préceptes d'Auril

Les principes de la foi d’Auril comportent quatre parties : la cruauté, l’endurance, l’isolement et la préservation.


Cruauté. En période de danger et de stress, la compassion ne fait que mettre en évidence les faiblesses prêtes à être exploitées par vos ennemis. Une vulnérabilité inutile fait de vous une cible pour le monde. La cruauté est l'armure qui vous protège de à toutes les injustices et épreuves qui vous attendent. Un refrain courant pour ceux qui méditent sur la cruauté est : « La compassion vous rend vulnérable. Laissez la cruauté être le couteau qui tient vos ennemis à distance.


Endurance. La persévérance est un témoignage d’elle-même. L’endurance, la patience et la persévérance illustrent toutes le courage nécessaire pour rester au service d’Auril. Durant des épreuves prolongées, ceux qui comprennent la concentration d’Auril pourrait scander : « Existez aussi longtemps que vous le pouvez, par tous les moyens possibles. Ce n'est qu'en endurant que vous survivez à vos ennemis.”


Isolement. Ne comptez sur personne d’autre pour accomplir vos tâches. Seule l’autonomie peut conduire à la réalisation de soi et l'épanouissement de votre véritable potentiel. L'isolement avec votre propre pouvoir ne peut qu'augmenter votre vie. La plupart des tâches assignées aux membres de la secte sont censées être accomplies seuls pour soutenir cette mission. Ceux qui se trouvent au milieu de l'isolement conjureront la peur en répétant : « Dans la solitude, vous pouvez comprendre et exploiter votre plein potentiel. Dépendre des autres vous rend faible.”


Préservation. La préservation est la base de l’hiver. Les disciples les plus fervents d’Auril connaissent ce principe comme le plus important car cela soutient l’objectif principal de leur déesse : envelopper tout ce qui est beau dans une couverture de glace de conservation. En voyant un objet gelé, en étant témoin d'un membre gelé ou en sacrifiant une personne par hypothermie, un adepte pieux pourrait prononcer : « Chaque flocon de neige est unique, et ce qui est l’unique doit être préservé.”

Les citadins avertis récitent souvent cette phrase dans leur barbe pendant le sacrifice d’un humanoïde lié à un poteau à l'extérieur de la ville. C'est aussi la phrase récitée à haute voix à la victime sacrificielle et constitue souvent le dernier mot entendu par cette personne avant sa mort.