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  1. Characters

Asahina Soko

L'Archère qui aime la Cour
PJ

Asahina Soko est une jeune samurai/bushi du clan de la Grue. Elle ne se confie pas très facilement et fait passer son devoir avant tout, en tout cas c’est ce qui paraît, vu de l’extérieur.
Elle sait manier l’arc (Kyudo) et apprécie de pouvoir passer du temps à la Cour.
Pendant son temps libre, elle passe du temps dans les jardins ou se promène dans la nature.
Ses parents sont décédés lors de l’assaut du château Asahina. Sa daimyo est Asahina Tamako

Emma-Ô et l'autre Soko

Je ressemble trait pour trait à l'un des juges des Enfers qui siège au côté d'Emma-Ô, est-ce là un signe qu'il me faudrait cherchait à comprendre ?
Elle porte également le même prénom mais était là avant moi, il y a donc des chances que lors du choix de mon prénom il ne s'agissait pas vraiment d'un choix.
Serais-je censée moi aussi régler les différents entre les mortels ou bien peut-être même juger de qui doit vivre et qui doit mourir de la même manière que l'autre Soko décide de la punition ou de la récompense des défunts ?

Origine de mon prénom

Quand j'étais enfant, mon frère Asahina Yukimura est tombé très malade. Tout le monde pleurait dont moi évidemment car les shugenjas avaient tout essayé, sans succès.
J'étais à son chevet alors que j'avais l'impression qu'il s'apprêtait à rendre son dernier souffle.
Une petite fille s'est alors approchée, m'a appelée Soko alors que je m'appelais alors Taka et m'a proposé de le soigner. Je la laissai faire dans mon désespoir, nos parents m'avaient demandé à me préparer à son décès.
Elle était de mon âge, le teint plutôt pâle, cheveux sombres (mais ce n'est pas exceptionnel pour une enfant de bonne famille qu'on ne met pas trop au soleil). Chose amusante, elle avait un tic où elle parlait en agitant son doigt comme si son doigt était une baguette telle celle d'un marionnettiste.

Après ceci, mon frère s'est alors réveillé normalement le lendemain.
Les shugenjas présents se sont mutuellement félicités d'avoir su apaiser les kamis, et ont salué mes déclarations comme une jolie fantaisie d'enfant, d'autant plus un enfant tel que moi avec aucune affinité particulière avec les kamis.