Fondé en 1268, l’Ordre de la Rose-Ardente
était supposé contrer le pouvoir de la Loge des
Magiciennes. Inspiré des services de renseignement rédaniens, il fut bâti sur les fondations de
l’Ordre de la Rose-Blanche qui était actif en
Téméria. Son dirigeant, Jacques d’Aldersberg,
entreprit une série de réformes majeures pour
que ceux qu’on appellerait dorénavant les Roses
Ardentes protègent les Nordiens des monstres
et du malin, assurent la survie de l’humanité, et
favorisent la paix autant que possible grâce aux
enseignements du Feu Éternel.
Quand Jacques fut tué, Siegfried de Denesle
fut choisi pour lui succéder; sous son commandement, l’Ordre se retira en Rédania où, abandonné
par Radovid V, on le sacrifia dans la guerre contre
Nilfgaard. Les survivants rejoignirent pour la plupart les chasseurs de sorcières du roi Radovid,
qui persécutent les « sorcières », les « monstres »
et les « mutants » (non-humains). Néanmoins,
des branches mineures de la Rose-Ardente sont
encore en activité, étendant leur rayon d’action
jusqu’à la Lyrie et la Rivie.
L’Ordre agonise, mais l’espoir d’une résurrection demeure à Toussaint, où leurs « nobles
actions » reçoivent un accueil plus favorable