“Waaaaaah… Rien que de penser à cette super longue pause de plus de 2h qu’ils ont fait, ça me donne envie de dormir. Purée, ils étaient pas pressés. Et vas-y que je réinvoque ma chouette, que je m’entraine avec une nouvelle épée, que je fais connaissance avec mon nouveau pet ou que je lèche les bottes de l’autre hippie. Je te l’ai bien dit Azazel : tu veux des infos sur ta copine, tu me donnes un nom. Ce sera bien plus clairs que tout ce que pourra dire l’autre cruche qui aime trop les énigmes.
Enfin, après avoir trainassé, les voilà repartit vers la super destination touristique du coin : un vieux tas de ruine couvert de végétation. Du grand art vieux de plusieurs siècles et en train de moisir depuis tout aussi longtemps au moins. Et ce n’est même pas de mon fait (hélas) ! Karam s’est mit à chercher des traces de magie et Ernest de pauvres être innocents injustement qualifiés de “mauvais” (sort de détection du bien et du mal). Ca leur a bien permis de trouver l’entrée bloquée du sous-sol avant que l’autre greluche n’ait à la leur montrer, mais le plus intéressant, c’était la tronche qu’à tiré l’amnésique quand il s’est rendu compte de la créature à côté de laquelle il se tenait.
Et c’est bien, il s’est pas laissé intimider. Il a même tenté de lui tirer les vers du nez à chercher des informations sur son passé. Et il s’est ainsi rendu compte qu’elle faisait la radine en infos. Et ouais, c’est ça le vrai visage de ces hypocrites. Si je pouvais parler…
Bref, revenons plutôt à cette satanée arche et son sort de protection contre le bien et le mal à la noix. Isabelle a préféré rester seule à faire le guet, parce que ça lui avait bien réussi la dernière fois, la hippie s’est barrée et les autres sont rentrés chercher Serapio. Ils sont arrivés sur un croisement avec un passage effondré. Ernest a réussi à comprendre tout seul que ça semblait pas très naturel. Mais à peine s’en sont-ils rendus compte que la petite Lili a décidé de passer par là pour espionner. Faerzress a ensuite entendu la voix de sa copine ans sa tête lui dire qu’il y avait trois femme-serpents et Serapio. L’elfe a décidé très raisonnablement de croire la voix dans sa tête (vous voyez que je ne suis pas la seule!) et a guidé le groupe sur l’autre chemin pour faire le tour.
Bon, passons sur leur… tentative d’avancer discrètement. Malgré les ombres invoquées par Faerzress, ils ont dû détourner l’attention des vigiles lézards avec des sorts d’illusions, Zavrok s’est fait entendre par les troufions qui ont détalé dès qu’ils ont vu une arme sortie et ils ont du tuer quatre pauvre petit guerriers sans défenses. Ils les ont même poursuivit et achevés sauvagement et sans pitiés alors qu’ils avaient déposés les armes. Quelle délicieuse cruauté !
Même pas le temps de souffler ou de faire attention qu’ils ont débarqué dans la dernière pièce, voyant Serapio attaché à son rocher, les pieds dans l’eau, et trois femmes serpents plus loin qui les attendait. La suite est un peu confuse, mais je crois que leur cheffe a voulu leur demander qui ils étaient et ce qu’ils faisaient là,, mais Faerzress a foncé vers elle en la dédaignant et, surprise, l’elfe s’est retrouvée devant leurs armes avant de pouvoir faire quelque chose. C’est maintenant que les choses vont devenir intéressante.”