« Je n’ai jamais vu peuple si dévoué et si prêt à faire partie d’un tout. C ’est à ça que ressemble la véritable liberté. »
— Domenica Vespucci
Dans un monde où rois et reines décident du sort des
Nations, la Fédération est une exception. Dans la Fédération, chaque citoyen possède une voix. Une voix égale. N’importe qui peut venir au Sejm (le Sénat sarmatien)
et s’exprimer. N’importe qui peut venir au Sejm et voter. Ne serait-ce qu’en
cela, la Fédération est différente. Mais ce n’est pas tout, loin de là.
Le sarmatisme (une vague de chevalerie empreinte de nostalgie qui a envahi la
Fédération) stipule que les nobles ont pour devoir de protéger le bas peuple.
Pas par obligation, par devoir. Cette vague est née au sein de la noblesse,
mais elle s’est étendue à la roture. L’idée est que chacun est impliqué et a
une responsabilité envers autrui. Si votre prochain choit, il faut l’aider à se
relever. Non pas dans l’espoir d’une récompense, mais parce que vous le pouvez.
Défendez les faibles, traduisez les injustes en justice. Les devoirs d’un
chevalier regroupent ce qui est attendu de tout citoyen de la Fédération. Mais
à l’orée de la civilisation, les mœurs anciennes ont toujours cours. D’anciennes
voix promettent le pouvoir. Bien sûr, la tentation de l’emporter sur le diable
est toujours présente. Un individu rusé et brave en sera capable. Et vous êtes
rusé et brave. Bien sûr que vous pouvez vaincre le diable à son propre jeu. Le
sarmatisme peut-il surpasser ces vieilles tentations ? Vos choix répondront à
cette question.
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